วันจันทร์ที่ 22 ตุลาคม พ.ศ. 2550

Hudson (fleuve)


Hudson River

Le fleuve Hudson est un fleuve de 506 km de long, coulant principalement dans l'État de New York et formant en partie la frontière entre les États de New York et du New Jersey. Le nom du fleuve provient de Henry Hudson, un anglais naviguant pour le compte de la France et de la Hollande qui explora le fleuve en 1609. Cependant le premier Européen en mesure de l'observer fut l'Italien Giovanni da Verrazano en 1524, dont l'expédition fut financée par les marchands florentins de Lyon et par François Ier.

Fort Tryon Park



Mur de pierre au cœur du Fort Tryon Park.


A l'emplacement du parc, au Fort Tryon s'est déroulé une des batailles de la Guerre d'indépendance. Le 16 novembre 1776, 600 partisans américains ont tenté de s'opposer à 4 000 mercenaires germaniques venus de Hesse, à la solde de la Grande-Bretagne. Margaret Corbin, blessée durant l'affrontement, fut la première femme à porter les armes durant ce conflit. Les britanniques emportèrent la victoire, et le fort fut rebaptisé en l'honneur de Sir William Tryon, le dernier gouverneur britannique de la colonie de New York.
Le parc devint ultérieurement la propriété de plusieurs riches américains, dont Dr. Samuel Watkins, fondateur de Watkins Glen, General Daniel Butterfield,
Boss Tweed et C. K. G. Billings. John Davison Rockefeller Junior a acheté le domaine à Billings en 1917. Il a chargé Frederick Law Olmsted, Jr, le fils du concepteur de Central Park, d'aménager un parc dans le but de l'offrir à la municipalité de New York. Les travaux se déroulèrent pendant la Grande dépression et fournirent de nombreux emplois. Le projet incluait notamment la construction de la station de métro de la 190e rue sur la IND Eighth Avenue Line. La réalisation du parc s'acheva en 1935. On y trouve de nombreuses plantations, notamment un jardin de bruyères.
Dans les
années 1970, la municipalité (New York City Department of Parks and Recreation) ayant abandonné l'entretien du parc, il devint un refuge pour les sans-abris, les prostituées et les revendeurs de drogue. En 1995, sous l'impulsion de Bette Midler, l'association New York Restoration Project en a pris le contrôle et l'a entièrement rénové.
Une partie du film de
Clint Eastwood, Un shérif à New York (Coogan's Bluff) a été tourné à Fort Tryon (notamment la scène finale).

New York



New York City

New York écouter, en anglais New York City (officiellement, City of New York) pour la distinguer de l’État de New York, est la principale ville des États-Unis, avec une population de 8 143 200 habitants. Son agglomération est également la plus importante du pays, devant celles de Los Angeles et de Chicago, et son PIB total la classe au deuxième rang mondial derrière l'agglomération de Tōkyō[1]. Située dans l’État de New York, sur la côte est des États-Unis, elle fait partie de la grande mégalopole du BosWash[2]. En 2006, le Grand New York comptait 21 199 865 habitants répartis entre les États de New York, du New Jersey et du Connecticut alors que la ville de New York proprement dite comptait 8 085 742 habitants, répartis dans cinq grands districts (appellés aussi borough) : Manhattan, Brooklyn, le Queens, le Bronx et Staten Island.
New York, fréquemment surnommée Big Apple, à savoir « La Grosse Pomme », regroupe aujourd'hui l'ensemble des critères caractéristiques d'une
ville mondiale, c’est-à-dire d’une métropole parfaitement intégrée dans la mondialisation. En effet, New York est aujourd'hui un centre décisionnel, économique et culturel de premier plan, notamment grâce à la puissance de ses institutions telles que le New York Stock Exchange ou le siège de l'ONU, mais aussi grâce aux nombreux sièges d'entreprises situés dans la ville.

Harlem


L'Hotel Theresa, au cœur d'un quartier de Harlem de plus en plus dynamique


Harlem est le nom d'un secteur du borough de Manhattan, dans la ville de New York, aux États-Unis. Il se situe entre le nord de la 96e rue et Washington Heights. Toutefois, l'espace est officieusement délimité par la 110e rue au sud et par la 155e rue au nord. Harlem a joué un rôle majeur tout au long de l'histoire de Big Apple[1] : au début du XXe siècle, le mouvement de la Renaissance de Harlem fit de New York le principal foyer de la culture afro-américaine ; par la suite, le quartier devint l'un des centres de la lutte pour l'égalité des droits civiques, étant donné que Harlem a longtemps été et demeure encore aujourd'hui un lieu où se concentrent les Afro-américains. Après plusieurs décennies de crise et de délabrement, Harlem se transforme aujourd'hui en un quartier dynamique et attractif, alors qu'il était considéré comme un ghetto où la criminalité était élevée il y a encore quelques années. Le fait que Bill Clinton ait choisi d'y installer ses bureaux traduit bien cette mutation urbaine et montre la volonté d'en faire l'un des centres attractifs de New York.

วันศุกร์ที่ 19 ตุลาคม พ.ศ. 2550

Armée rouge


Le drapeau de l'Armée rouge

L'Armée rouge, en russe Красная Армия, ou plus exactement Rabotche-krestianskaïa Krasnaïa Armia Рабоче-крестьянская Красная Армия - l'Armée rouge des ouvriers et paysans, est l'armée mise sur pied, dans l'ancien empire russe par le nouveau pouvoir bolchevik, après la Révolution d'Octobre, afin de combattre la contre-révolution des Blancs soutenus par les puissances étrangères (France, Royaume-Uni, Tchécoslovaquie, États-Unis, Japon). Le terme rouge a une connotation révolutionnaire et fait référence au sang.
Un an après la fin de la 2e guerre mondiale, en
1946, cette armée va s'appeler l'Armée soviétique (Советская Армия - Soviétskaïa Armia), jusqu'à la dissolution de l'Union soviétique en décembre 1991.

Révolution russe



La toute jeune Armée rouge prise en photo à Tiflis, Géorgie, en 1921.


La Révolution russe est l'ensemble des événements en 1917 ayant conduit au renversement spontané du régime tsariste en Russie en février, puis en octobre à l'installation préparée d'un régime léniniste. Largement produite par la Grande Guerre, la Révolution russe est un événement fondateur et décisif du « court XXe siècle » ouvert par l'éclatement du conflit européen en 1914 et clos en 1991 par la disparition de l'URSS. Objet de sympathies et d'immenses espoirs pour les uns (la « grande lueur à l'Est » de Jules Romains, le « charme universel d'Octobre » décrit par François Furet), objet de sévères critiques, voire de peurs et de haines viscérales pour les autres, elle reste un des faits les plus étudiés et les plus passionnément discutés de l'histoire contemporaine. Son déroulement mais aussi ses conséquences restent sujets à controverse : Février impliquait-il nécessairement Octobre ? Qui sortit vainqueur de la Révolution russe, de la guerre civile et de la dictature bolchevik ? Ces derniers furent-ils l'avènement du stalinisme des années 1930 ?

Terrorisme


Le Pentagone après l'attaque terroriste du 11 septembre 2001.


Le terrorisme est une méthode qui consiste à mener des actions violentes (attentats, assassinats, enlèvements, sabotages...) contre la population, de telle sorte que leur retentissement psychologique dépasse largement le cercle des victimes directes pour inclure le groupe qu'elles sont censées représenter, par exemple l'État.
Si un accord existe sur le concept, la délimitation du phénomène terroriste reste complexe. La conceptualisation de la
Terreur fut l'œuvre de la Révolution française mais a aussi été revendiquée par Lénine en Russie. Aujourd'hui le terme terrorisme a un aspect péjoratif. Ses nombreuses définitions dévoilent de nombreux enjeux voire les intérêts de ceux qui les décident.
Il est généralement admis que le terrorisme est une arme des faibles contre les forts (guerre asymétrique) même si, comme le souligne Noam Chomsky, les états et institutions ont aussi recours à cette méthode (Terrorisme d'État). Si l'on suit Gérard Chaliand, les actions de terrorisme se confondent parfois à la guerre, la guérilla ou au banditisme.
Les tentatives pour élaborer une typologie du recours au terrorisme butent sur l'hétérogénéité des terroristes. Des classifications (action individuelle ou organisée, type de doctrine, moralité du choix des cibles...) existent mais ne suffisent pas à rendre compte du phénomène.
Au final, le terrorisme a montré qu'il pouvait parvenir à ses fins, que ce soit dans le cadre de luttes anti-coloniales (Indépendance de l'
Irlande) ou d'autres (médiatisation de la cause de la Palestine après des années d'attentats, négociations en Corse après l'assassinat du préfet Érignac, nombreuses libérations anticipées de terroristes, versements des rançons demandées etc).


État


Nicolas Machiavel un des premiers auteurs à employer le mot État (Stato en italien)


L’État est une des formes d'organisation politique et juridique d'une société ou d'un pays. Il a été précédé par la Polis grecque, la res publica romaine, le Saint Empire romain germanique etc. Il est délimité par des frontières territoriales à l'intérieur des quelles ses lois s'appliquent et est constitué d’institutions par lesquels il exerce autorité et pouvoir; la légitimité de cette autorité repose sur la souveraineté (du peuple ou de la nation par exemple).
Le
pays désigne une entité géographique tandis que le gouvernement est l’une des institutions par lesquelles l’État exerce son pouvoir ; la nation quant-à-elle ne se confond pas toujours avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation.


วันอังคารที่ 9 ตุลาคม พ.ศ. 2550

Canal (voie navigable)


Une vue de canal classique en Europe : des berges artificielles mais végétalisées et bordées de peupliers. Le canal est longé par une voie carrossable et/ou une ancienne voie ferrée ayant servi au halage des bateaux. Remarquons cependant que la rectitude du canal ici présenté est loin d'être la règle. Elle est permise ici par le terrain, mais en de très nombreux endroits, les canaux épousent les courbes de relief du terrain et présentent un parcours plutôt sinueux. (ici Canal de l'Ourcq au parc de la Bergère


Un canal est un cours d'eau artificiel, navigable ou non. Les canaux sont généralement d'eau douce, mais le canal de Corinthe ou le canal de Suez, qui ne quittent pas le niveau de la mer, sont salés.Il peut s'agir d'une structure entièrement artificielle, ou d'un fleuve ou d'une rivière canalisé sur tout ou partie de son cours. L'Homme modifie alors les caractéristiques géométriques et hydrauliques d'un cours d'eau, par curages, creusements, rectifications, élargissement (ex : pour « mise à grand gabarit »). La canalisation des grands fleuves (Rhin, Rhône) ont été accompagnés de comblements de méandres ou de « chevelus » pour "canaliser l'eau" dans un cours principal contraint. On a généralement cherché à rendre ce dernier plus rectiligne pour faciliter la navigation.Dès l'Antiquité, puis au Moyen Âge, l'aménagement des berges a cherché à faciliter la traction (halage) et l'accostage.La création d'écluses, voire d'ascenseurs à bateaux, de ponts-canaux ou de passages en tunnels ont encore facilité la circulation, ainsi que des gares d'eau et des points de virement des bateaux.Pour lutter contre la dégradation des berges par le « batillage » causé par la vitesse des péniches et bateaux à moteurs, de nombreux canaux ont des berges de béton ou palplanches métalliques.Un canal peut aussi avoir d'autres finalités que la navigation, comme l'irrigation (canal d'irrigation) ou le drainage (régulation des crues, poldérisation.A la fin du XXe siècle, un tourisme de plaisance a pris de l'importance sur certains canaux.

Eau



Cascades de Jonathan's Run



L’eau est un composé chimique ubiquiste sur la Terre, essentiel pour tous les organismes vivants connus. Le corps humain est ainsi composé à 70 % d'eau. L'eau se trouve en général dans son état liquide, et possède à température ambiante des propriétés uniques : c'est notamment un solvant très efficace — l'eau est quelque fois désignée sous le nom de « solvant universel ». Pour cette raison, l'eau qu'on trouve sur Terre n'est qu'exceptionnellement un composé chimique pur. La formule chimique de l'eau pure, constituant principale de l'eau, est H2O. L'eau « commune » peut avoir des propriétés différentes de celle utilisée en laboratoire (dite « distillée »), de sorte que les chimistes préfèreront parler de solution aqueuse pour définir une eau non pure. Cependant, beaucoup de composants sont pratiquement, sinon complètement, insolubles dans l'eau.
Près de 70 % de la surface de la Terre est recouverte d'eau (97 % d'eau salée et 3 % d'
eau douce dans différents réservoirs), essentiellement sous forme d'océans mais l'eau est aussi présente sous forme gazeuse (vapeur d'eau), liquide et glace. Une étendue d'eau peut être un océan, une mer, un lac, un étang, un fleuve, une rivière, un ruisseau, un canal… (voir les ressources en eau sur Terre pour plus de détails). La circulation de l’eau au sein des différents compartiments terrestres est décrite par le cycle de l'eau.

Oasis


Oasis en Libye (Sahara)


En géographie, une oasis (mot venant du grec ancien) désigne une zone de végétation isolée dans un désert stérile. Ceci se produit à proximité d'une source d'eau ou lorsqu'une nappe phréatique est suffisamment proche de la surface du sol ou parfois sur le lit de rivières venant se perdre dans le désert.
Les oasis ont toujours joué un rôle important dans l'établissement des
routes commerciales empruntées par les caravanes, qui y trouvaient de quoi se désaltérer et se restaurer. Leur contrôle politique ou militaire était donc d'une importance stratégique.
Le mot « oasis » passe dans le langage commun pour désigner un espace réduit au milieu du désert rendu fertile par la présence d’eau. Or, la rigueur
archéologique y introduit d’autres caractères essentiels. Une oasis, dans sa définition archéologique, est un terroir créé par la main de l’homme et entretenu par l’introduction d’un système de gestion hydraulique. Il s’agit en fait d’un espace mis en culture par l’irrigation (avec des seguias) et donc parfaitement artificiel. Ceci implique une présence humaine et une oasis peut donc être définie comme l’association d’une agglomération humaine et d’une zone cultivée (souvent une palmeraie) en milieu désertique ou semi-désertique.
Une palmeraie d’oasis est un espace fortement anthropisé et irrigué qui supporte une agriculture classiquement intensive et en polyculture. L’oasis est autant intégrée à son environnement désertique (association avec l’élevage transhumant des nomades) qu’elle s’en émancipe par une structure écosystémique toute particulière. Répondant entre autres de contraintes environnementales, c’est une agriculture intégrée qui est menée avec la superposition (dans sa forme typique) de trois strates : la plus haute des palmiers dattiers (le
palmier-dattier caractérise la plupart des oasis), une intermédiaire des arbres fruitiers (oranger, bananier, grenadier, pommier, etc.) et à l’ombre la strate des plantes basses (maraîchage, fourrage, céréales). Une autre constante de la structure oasienne est le travail en planches de culture, une organisation de l’espace appropriée à l’irrigation par inondation[1]. Les oasis sahariennes, milieux naturels et anthropiques, n'occupent qu'un millième de la surface du Sahara. La présence d’eau en surface ou en sous-sol est nécessaire, mais non suffisante à la création de tels espaces. Le Sahara est l’exemple type de l’actualisation de cette potentialité, mais pas l’unique. À travers le monde, le système oasien nourrit au moins dix millions de personnes. Cependant, il existe des régions désertiques sans oasis, malgré la présence d’eau (le Kalahari, par exemple). La création d’oasis est aussi contingentée par l’Histoire : de nombreuses oasis ont été créées ou se sont développées pour leur rôle de relais sur les routes commerciales (route saharienne de l’or ou route asiatique de la soie).
Les oasis sont l'objet régulier de projets de développement, nationaux ou internatioanaux, visant ces territoires comme potentiels agricoles ou touristiques.
Au niveau des ONGs et associations, il existe par exemple le Réseau associatif de développement durable des oasis (
Raddo) créé en 2001 qui rassemble des associations de Tunisie, d'Algérie, du Maroc et de Mauritanie. Son but — emblématique des approches environnementalistes récentes — est d'enrayer le déclin des oasis du Maghreb et la dégradation de leur écosystèmes par la mise en place d'actions d'amélioration de la gestion de l'eau et de la production de semences, d'aide à la diversification des activités et à la formation à l'agrobiologie.

Tour de Londres


La tour de Londres: Tour blanche vue du sud

La Tour de Londres est officiellement appelée « La forteresse et le palais de Sa Majesté, La tour de Londres » (en anglais Her Majesty's Royal Palace and Fortress The Tower of London) bien que le dernier monarque qui y ait habité fut le roi Jacques Ier. La « tour Blanche », bâtiment carré avec des tourelles sur chaque angle qui lui donna son nom, se trouve au centre d'un complexe de plusieurs bâtiments sur la Tamise à Londres, qui servaient de forteresse, d'arsenal, de trésorerie, d'hôtel des Monnaies, de palais, de refuge et de prison, surtout pour les prisonniers des plus hauts échelons de la société.
Ce dernier usage fut à l'origine de l'expression anglaise sent to the Tower (envoyé à la Tour) qui veut dire emprisonné, tout comme son synonyme français «
embastiller ». Élisabeth Ire y fut emprisonnée quelque temps pendant le règne de sa sœur Marie. Le dernier prisonnier célèbre de la tour fut Rudolf Hess, durant la Seconde Guerre mondiale.

Tamise


Tamise

La Tamise (en anglais River Thames) est un fleuve traversant l'Angleterre méridionale et reliant Londres à la mer.
La Tamise a une longueur de 346 kilomètres. C'est le principal fleuve du
Royaume-Uni, mais la Severn en est le plus long, avec 354 km.
Prenant naissance au pied des collines de Cotswold, à Thames Head, dans la paroisse de Coates, au sud de
Cirencester, elle serpente vers la mer du Nord en suivant essentiellement un axe ouest-est. Elle traverse alors Oxford, Wallingford, Reading, Sonning, Henley-on-Thames, Marlow, Maidenhead, Eton, Windsor, Hampton, Kingston, Richmond upon Thames avant d'entrer dans Londres. Malgré sa largeur, de nombreux ponts la traversent dans la capitale : Chelsea, Vauxhall, Westminster, Waterloo, London Bridge, Tower Bridge ... Elle poursuit alors par Greenwich et le Dartford avant d'entrer dans la mer par un estuaire noyé.
La Tamise possède assez peu d'affluents notables. Le principal est le
Kennet qui lui parvient rive gauche à Reading. Par la suite, elle reçoit à gauche la Colne et la Lea, à droite la Wey, la Mole et la Darent.
À environ 90 kilomètres de la mer, en amont de Londres, le fleuve commence à montrer des signes d'activité de
marée. À Londres, l'eau est légèrement saumâtre à cause du sel de mer. Le fleuve, autorisant le passage de grands navires, a contribué à la tradition maritime de l'Angleterre. Un réseau de canaux le fait communiquer avec la Severn, le canal de Bristol et la Trent.

Tower Bridge


Tower Bridge

Le Tower Bridge est un pont basculant qui se situe sur la Tamise à Southwark, près de la tour de Londres dont il tire son nom. Au moment de sa construction, Tower Bridge était le plus grand et le plus sophistiqué des ponts basculants jamais construits. Ce pont est célèbre dans le monde entier grâce à son architecture très particulière : il est composé de deux grandes tours, d'une suspension rigide, d'un tablier s'ouvrant au passage des navires les plus hauts et d'une passerelle au sommet. Les machineries du pont ouvrant et la passerelle sont ouvertes au public pour des petites visites.
Hors d'
Angleterre, il est parfois confondu avec le London Bridge (pont de Londres). Une anecdote raconte même qu'un milliardaire américain est tombé amoureux du Tower Bridge et qu'il en a commandé une copie sous le nom de London Bridge. Quelle ne fut pas sa surprise de voir arriver un pont en pierre tout ce qu'il y a de plus courant.

Guerre de Troie



Combat aux vaisseaux devant Troie, sarcophage attique du Musée archéologique de Thessalonique, deuxième quart du IIIe siècle


La guerre de Troie est un événement légendaire, élément essentiel de la culture grecque antique. Il a donné lieu à de nombreuses œuvres artistiques, littéraires notamment. Une partie en est racontée dans l'Iliade d'Homère ; le poème porte ce nom car le nom grec de la ville de Troie est Ilion : il s'agit de la première épopée écrite en grec et elle a une valeur fondatrice.