วันพฤหัสบดีที่ 27 ธันวาคม พ.ศ. 2550

Bouche



Cavité buccale

La bouche (encore dénommée cavité buccale ou cavité orale) est l'ouverture par laquelle la nourriture d'un animal entre dans son corps. Le mot gueule s'utilise aussi, mais avec un sens familier lorsque qu'il est question d'un être humain.
Cet
organe est habituellement situé au niveau de la tête. Les planaires, notamment, font exception puisque leur bouche se situe au milieu de leur ventre.
La plupart des animaux ont un
système digestif complet, avec une bouche à une extrémité et un anus à l'autre. Selon l'extrémité qui se forme en premier en embryologie, on peut classifier les animaux en protostomiens et deutérostomiens. Quelques animaux n'ont pas d'anus : ils excrètent leurs déchets par la bouche. C'est le cas des cnidaires et des planaires, ainsi que des brachiopodes, qui ont un système digestif très efficace (le tube étant enroulé autour de l'estomac durant la digestion).
Quelques animaux, comme les
cestodes, n'ont même pas de bouche. Ils vivent à l'intérieur du système digestif de leur hôte et n'ont donc pas besoin d'en posséder une.
Chez de nombreux animaux, la bouche possède des
dents pour mâcher la nourriture ou injecter du poison. De plus, elle est souvent dotée d'une langue qui sert à la mastication, à la phonation et à la déglutition. Chez les arthropodes, il y a des membres externes modifiés ; chez les vertébrés gnathostomes, ils sont internes.
Les structures cornées couvrant la bouche d'un oiseau composent son
bec.

Piano


Le piano esPiano à queue moderne


t un instrument de musique polyphonique à clavier et à cordes frappées, il est donc classé parmi les percussions et les cordes. Le son est produit par les cordes, tendues sur un cadre rigide, au-dessus de la table d'harmonie. Elles sont frappées par des marteaux, couverts de feutre, actionnés par l'enfoncement des touches du clavier. La vibration des cordes est stoppée par un étouffoir lorsque la touche du clavier est relâchée. Un dispositif mécanique, appelé « échappement », permet à la corde de vibrer librement, puis au cours de son évolution, une répétition plus rapide de la note.
Son nom provient d'une abréviation de
piano-forte, locution italienne pour doux-fort, (piano en italien) ou fort (forte) qui se rapporte au fait que le volume du son du piano change en fonction de la force avec laquelle les touches sont frappées .
Écouter un petit exemple du
? son d'un piano Fiche.


Surabaya


Panoramique de la banlieue est de Surabaya


Surabaya est la capitale de la province indonésienne de Java Est. Elle est située sur la côte nord de Java, qu'on appelle le Pesisir.
Surabaya, deuxième ville d'Indonésie, a le statut de
kota (municipalité) et est dirigée par un walikota élu par l'assemblée municipale, elle-même élue au suffrage direct. Sa superficie est de 326 km². Sa population était de 2 659 600 habitants en 2003, ce qui en fait la deuxième ville d'Indonésie.
Du fait des réformes orthographiques de l'
indonésien, Surabaya a été écrit Soerabaja jusqu'en 1947 et Surabaja de 1947 à 1972.


Bromo


Le Bromo (cratère fumant au second plan), le Semeru (dernier plan) et le Batok (premier plan)

Le Bromo est un volcan d'Indonésie, situé dans l'est de l'île de Java à environ 100 km au sud de Surabaya dans le massif du Tengger. Il culmine à 2 329 m d'altitude et son cratère fait 800 m de diamètre et 200 m de profondeur.
Les habitants de la région sont restés hindouistes. Chaque année, ils observent la cérémonie du Kesada, qui consiste à faire des offrandes au cratère, considéré comme une divinité.
A l'époque du royaume de
Majapahit (XIVe-XVe siècle), les habitants du Tengger avaient un statut spécial. En effet, dans cette région se trouve, au sud du Bromo, le volcan Semeru, considéré comme le séjour des dieux par les hindouistes de Java. Les habitants du Tengger étaient donc considérés comme les gardiens du lieu.

วันศุกร์ที่ 21 ธันวาคม พ.ศ. 2550

Harp


An ancient Egyptian harp on display in a UK museum.


The harp is a stringed instrument which has the plane of its strings positioned perpendicular to the soundboard. All harps have a neck, resonator and strings. Some, known as frame harps, also have a forepillar; those lacking the forepillar are referred to as open harps. Harp strings can be made of nylon (sometimes wound around copper), gut (more commonly used than nylon), wire, or silk. A person who plays the harp is called a harpist or a harper. Typically, folk/Celtic musicians prefer the term "harper," whereas classical/pedal musicians prefer "harpist."
Various types of harps are found in
Africa, Europe, North, and South America, and a few parts of Asia. In antiquity harps and the closely related lyres were very prominent in nearly all musical cultures, but they lost popularity in the early 19th century with Western music composers, being thought of primarily as a woman's instrument after Marie Antoinette popularised it as a lady's pastime. There was no harp-exclusive museum until the North Italian harp-building firm of Victor Salvi started one in 2005.
The
aeolian harp (wind harp), the autoharp, and all forms of the lyre and Kithara are not harps because their strings are not perpendicular to the soundboard; they are all technically part of the zither family of instruments along with Piano and Harpsichord. The Blues harp or Harmonica is not even a stringed instrument; it is a free reed wind instrument. The Laser harp is also not a stringed instrument, it is a harp-shaped electronic instrument with laser beams where harps have strings. The Harp guitar has extra unfretted bass strings like a theorbo.


American Civil War



Top left: Rosecrans at Stones River, Tennessee; top right: Confederate prisoners at Gettysburg; bottom: Battle of Fort Hindman, Arkansas

The American Civil War (1861–1865) was a civil war between the United States of America (the "Union") and the Southern slave states of the newly-formed Confederate States of America under Jefferson Davis. The Union included all of the free states and the five slaveholding border states and was led by Abraham Lincoln and the Republican Party. Republicans opposed the expansion of slavery into territories owned by the United States, and their victory in the presidential election of 1860 resulted in seven Southern states declaring their secession from the Union even before Lincoln took office.[1] The Union rejected secession, regarding it as rebellion.
Hostilities began on
April 12, 1861, when Confederate forces attacked a U.S. military installation at Fort Sumter in South Carolina. Lincoln responded by calling for a large volunteer army, then four more Southern states declared their secession. In the war's first year, the Union assumed control of the border states and established a naval blockade as both sides massed armies and resources. In 1862, battles such as Shiloh and Antietam caused massive casualties unprecedented in U.S. military history. In September 1862, Lincoln's Emancipation Proclamation made ending slavery in the South a war goal, which complicated the Confederacy's manpower shortages.
In the East, Confederate commander
Robert E. Lee won a series of victories over Union armies, but Lee's reverse at Gettysburg in early July, 1863 proved the turning point. The capture of Vicksburg and Port Hudson by Ulysses S. Grant completed Union control of the Mississippi River. Grant fought bloody battles of attrition with Lee in 1864, forcing Lee to defend the Confederate capital at Richmond, Virginia. Union general William Sherman captured Atlanta, Georgia, and began his famous March to the Sea, devastating a hundred-mile-wide swath of Georgia. Confederate resistance collapsed after Lee surrendered to Grant at Appomattox Court House in April 1865.
The war, the deadliest in American history, caused 620,000 soldier deaths and an undetermined number of civilian casualties, ended slavery in the United States, restored the Union by settling the issues of
nullification and secession and strengthened the role of the Federal government. However, issues affected by the war's unresolved social, political, economic and racial tensions continue to shape contemporary American thought.

Union Army


The 21st Michigan Infantry, a company of Sherman's veterans.


The Union Army was the army that fought for the Union during the American Civil War. It was also known as the Federal Army, the Northern Army, or the National Army.[1] It consisted of the small United States Army (the regular army), augmented by massive numbers of units supplied by the Northern states, composed of volunteers as well as draftees. The Union Army fought and defeated the Confederate States Army during the war, from 1861 to 1865. Of the 2.5 million men who served in the Union Army during the war, about 360,000 died in combat, from injuries sustained in combat, disease, or other causes, and 280,000 were wounded.


Convention de Schengen


Un monument dédié aux accords Schengen, à Schengen





Une frontière Schengen intérieure, entre Allemagne et Autriche



La convention de Schengen prévoit la suppression des contrôles d'identité aux frontières entre les pays signataires. Le territoire sans frontière ainsi créé est communément appelé espace Schengen (du nom du village luxembourgeois de Schengen, point triple de la frontière Allemagne-Bénélux-France au bord de la Moselle, où l’accord (entre ces cinq États) a été signé en juin 1985).
Aujourd'hui, les pays signataires pratiquent une politique commune en ce qui concerne les visas et ont renforcé les contrôles aux frontières limitrophes de pays extérieurs à l’espace. Bien qu'il n'y ait en théorie plus de contrôles aux frontières internes à l’espace Schengen, ceux-ci peuvent être mis en place de manière temporaire s'ils s'avèrent nécessaires au maintien de l’ordre public ou de la sécurité nationale. Désormais, les citoyens étrangers qui disposent d'un visa de longue durée pour l’un des pays membres peuvent circuler librement à l’intérieur de la zone.
Avec l'application le
21 décembre 2007 de la convention par neuf pays supplémentaires, l'espace Schengen regroupe 24 pays européens et permet la libre circulation d'environ 400 millions de citoyens.





Sâdhu


Sâdhu à Ujjain


Gravure du XVIIIe siècle

Les hindouistes considèrent que le but ultime de toute vie est la moksha, la libération de l'illusion (mâyâ), l'arrêt du cycle des renaissances et la dissolution dans le divin, la fusion avec la conscience cosmique. Cet objectif est rarement atteint au cours de la vie présente.
Le sâdhu (du
sanskrit साधु sādhu, « homme de bien, saint homme ») choisit de vivre une vie de sainteté pour accélérer ce processus, pour le réaliser à l'issue de cette vie. Les sâdhu sont présents en Inde depuis plusieurs milliers d'années, peut-être depuis la préhistoire, où leur rôle s'apparentait de celui d'un chaman. Au Ve siècle av. J.-C., le Bouddha les rejoint un moment dans sa recherche de l'illumination, ce sont les gymnosophes, les philosophes nus que les Grecs d'Alexandre le Grand croisent en pénétrant dans le monde indien. Il semble que leur nombre se soit largement développé au XIIIe siècle.
On considère généralement qu'ils forment 0,5 % de la population indienne, soit quatre à cinq millions de personnes.


Les sâdhu sont des renonçants, ils coupent tout lien avec leur famille, ne possèdent rien ou peu de choses, s'habillant d'un longhi, d'une tunique, de couleur safran pour les shivaïtes, jaune ou blanche pour les vishnouites, symbolisant la sainteté, et parfois de quelques colliers, ils n'ont pas de toit et passent leur vie à se déplacer sur les routes de l'Inde et du Népal, se nourrissant des dons des dévots.
Dans leur recherche d'absolu, les sâdhu pratiquent des tapas, récitations de
mantras, rituels magiques, contrôle du souffle, yoga unifiant le corps et l'âme, abstinence sexuelle, vœu de silence, méditation ou mortifications, ces mortifications que Bouddha refusera comme fallacieuses pour définir sa voie moyenne. La pratique des tapas est censée augmenter leur énergie spirituelle leur permettant d'atteindre un statut de presque-dieux. L'énergie sexuelle étant une source majeure de cette énergie spirituelle, l'abstinence permet donc de l'augmenter.
Un grand nombre d'entre eux consomment rituellement du
haschich, comme Shiva est censé le faire, pour déchirer le voile de la maya, ce qui est toléré par l'État indien qui cependant prohibe cet usage dans sa loi. D'autres cependant refusent cette consommation qu'ils jugent opposée à leur idéal.
Les sâdhu shivaïtes frottent leur corps avec des cendres, symboles de mort et de renaissance. À l'image de Shiva, ils portent leurs cheveux extrêmement longs.
L'allégeance des sâdhu à
Shiva ou à Vishnou se reconnaît par les marques traditionnelles qu'ils peignent sur leur front et parfois par la couleur de leurs vêtements. Il leur arrive de s'affronter lors des Kumbhamelâ pour des problèmes de préséance, chacun prétendant à entrer les premiers dans l'eau sainte.
À côté du désir de recherche spirituelle, les raisons originelles qui poussent à choisir la vie de sâdhu peuvent être très diverses : fuir sa
caste, car les saints hommes ne les reconnaissent pas, échapper à une situation familiale pénible, à une situation économique calamiteuse, mais aussi pour une femme à l'infamie du veuvage, ce qui fait qu'il existe, bien qu'en nombre bien moindre (10 % de la population sâdhu), des sâdhu femmes ou sâdhvi (साध्वी sādhvī). C'est la raison pour laquelle, on rencontre peu de sâdhvi d'un jeune âge, contrairement aux chela masculins, les élèves des sâdhu, qui peuvent être de tout jeunes garçons.
La croyance veut que les sadhus obtiennent certains pouvoirs (siddhis) comme la lévitation, l’invisibilité, la capacité de grandir, vivre sans manger se nourrissant d’énergie et de marcher sur l’eau.