วันพุธที่ 18 กรกฎาคม พ.ศ. 2550

Vélopartage ou Vélos partagés







Vélopartage est un néologisme désignant le concept de vélos partagés (Bike-sharing en anglais). Le principe de ce concept est la mise à disposition, gratuitement ou non, de vélos dans un but principalement de déplacement. Les principes de vélos en libre service ou libre-service vélo, recoupent le concept de vélos partagés, voire aussi éventuellement les vélos gratuits en ville. Les termes City Bike ou Citybike renvoient généralement à des vélos en libre service ou vélos partagés.
Le
vélo peut constituer pour certains un bon moyen de déplacement surtout en ville et, contrairement à une utilisation sportive de celui-ci, il n'est pas nécessaire d'avoir un vélo onéreux alliant une bonne qualité technique et un confort élevé. Certain cyclistes vont d'ailleurs préférer des vélos dépouillés techniquement pour un faible investissement financier et suffisant dans le cadre de déplacement urbain, le vol étant d'ailleurs aussi une motivation notable pour des vélos «économiques». De tels vélos peuvent facilement être mutualisés pour une utilisation commune par un groupe.
Le principe du vélopartage est, en apparence, l'application des concepts de l'
autopartage au vélo. Le concept appliqué à un moyen de transport simple et économique prend une tout autre dimension. L'investissement est nettement moindre et des offres de vélos gratuits en ville ont pu être proposées par des municipalités. Un concept étendu de vélos partagés consiste à la mise à disposition à travers la ville en un maximum de point, de vélos à disposition ; les utilisateurs rendant ces vélos à la fin de leur utilisation, si possible à la fin d'un trajet si ces derniers sont assurés de retrouver un autre vélos pour un trajet retour. Un des plus anciens systèmes notables sont les Bycyklen (ou City Bike) de Copenhague suivant un concept de Morten Sadolin, Wessung Ole et Niels Christiansen. De tels systèmes ont pu être mis en place directement par des municipalités — comme au Danemark ou en Finlande — ou grâce à des associations — comme à Copenhague et pour Viennabike et encore Les vélos roses à la Chaux-de-Fonds — ou bien de façon plus commerciale tel que le concept Cyclocity ou bien Call a Bike en Allemagne. La plupart de ces systèmes sont financés en grande partie par la publicité.

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